Informations pratiques pour des vacances reussies a Zumbi

Climat :

Zumbi est situé 5° sous l’équateur, dans l’hémisphère sud. Cela signifie qu’il y a très peu de différence entre l’hiver et l’été. La température est constante toute l’année (climat équatorial) et d’environ 26-32°C la journée. La mer est quasiment à la même température. La nuit, la température descend entre 20 et 25°C. Septembre à mars est généralement la saison sèche, avril à juillet la saison humide avec le maximum de pluie en juillet, mais il peut pleuvoir un peu, toute l’année, généralement de courtes averses et un retour au soleil rapide.
En outre, le vent souffle de l’Atlantique, toute l’année. Ainsi la chaleur n’est pas oppressante. La force du vent peut varier au cours de l’année et est généralement plus forte en septembre et octobre, plus faible d’avril à juillet. Il n’y a pas de saison cyclonique.

 

Sécurité :

Prenez les mêmes précautions que lors de tout voyage, y compris dans les villes européennes. Ne montrez pas de signe ostentatoire de richesses. Éviter de rouler la nuit. Zumbi est un petit village assez tranquille, vous vous sentirez bien plus en sécurité ici que dans les grandes villes. Néanmoins, la résidence est fermée, surveillées et gardiennée 24h/24. Personne ne peut entrer sans autorisation préalable.

 

Argent :

La monnaie du Brésil est le Réal, qui se note généralement R$. 1€ correspond à peu près à 3 R$
Le distributeur de billets le plus proche est situé dans le village de Rio do Fogo (5 km). A Natal, vous trouverez de nombreux guichets automatiques, dans les centres commerciaux ou à l’aéroport. La Carte bancaire internationale est acceptée chez la plupart des commerçants. Pour changer des € en R$ vous pouvez, par exemple, aller au bureau de change « Confidence » situé à Praia Shooping, à Natal, Ponta Negra ou dans des bureaux de change situés sur la plage de Ponta Negra. Le taux dans les distributeurs de billets est néanmoins plus intéressant.

 

Électricité :

La résidence est équipée en 220v. Prises rondes de type européen. Par contre, les grosses prises françaises avec la terre nécessitent un adaptateur.

 

Santé :

A votre disposition, une petite pharmacie dans le village de Zumbi. L’hôpital le plus proche est à Touros, à environ 30 km. Nous vous recommandons 2 hôpitaux privés à Natal :

Hospital do Coracao
Rua Cel. Auris Coelho 235
Lagoa Nova
Natal

et

Promater, Hospital e Maternidade
Rua Sao José 1979
Lagoa Nova
Natal

 

Eau potable :

La résidence dispose de son propre réseau d’eau (nappe phréatique) et celle-ci est potable (testée régulièrement). Certaines personnes la boivent, mais nous vous conseillons néanmoins de ne pas boire l’eau du robinet. Vous trouverez une fontaine à eau dans la maison et des recharges à acheter (bonbonnes de 20 litres)  dans le village. Une recharge d’eau est très peu cher (4 R$ pour une bonbonne de 20l). Vous pouvez par contre laver la vaisselle ou les fruits et légumes à l’eau du robinet.

 

Langue :

Comme dans tout le Brésil, la plupart des gens ne parlent que le portugais. Apprendre quelques mots avant de partir peut s’avérer utile et vous vous ferez mieux apprécier des populations.
L’anglais est parlé par la plupart du personnel de la résidence. Si vous ne parlez que le français, les Brésiliens étant des gens chaleureux, il reste toujours la possibilité de se faire comprendre par le « langage des mains ». Sachez tout de même que la clientèle de la résidence est internationale, majoritairement européenne, des pays nordiques (Norvège, Suède…) et que l’anglais sera de rigueur si vous souhaitez lier amitié avec vos voisins.

Quelques mots de politesse en Portugais :

Bonjour = Bom Dia (le matin), Boa Tarde (l’après-midi), Boa noite (le soir ou la nuit)

S’il vous plait = Por favor

Merci = Obrigado (pour un homme), Obrigada (pour une femme)

Pardon, excusez-moi = Desculpe

Au revoir / A bientôt = Tchau / Ate longo

 

Ravitaillement :

A Natal, vous trouverez de nombreux magasins et centres commerciaux. Le MidwayMall est le plus important, grand centre commercial sur plusieurs étages. Il y a aussi 2 magasins « Carrefour » à Natal, où vous pouvez trouver de tout. Les prix dans les hypermarché sont aussi intéressants chez « BomPreço » (plusieurs hypermarchés à Natal, dont un à Ponta Negra).
Dans le quartier « Alecrim » vous trouverez un marché permanent composé d’étals de rue, produits simples et bon marché.
Dans le quartier « Petropolis », vous trouverez des boutiques de mode et vêtements de marque

Pour le ravitaillement quotidien, vous trouverez des magasins dans le village de Zumbi, mais le choix est limité. Les produits tels que la viande s’achètent à Natal ou à Touros.
Chaque mercredi matin, tôt (entre 5h30 et 7h30), il y a un marché à Zumbi, où vous trouverez des fruits et légumes ou même la possibilité d’acheter un poulet vivant. Également, chaque jour, les pêcheurs locaux vendent leur production, poissons, crevettes, coquillages…
A Touros, il y a un marché plus important, tous les mardi matin, jusqu’à midi. Grande variété de fruits, légumes, viandes, épices, vêtements…

Si vous n’êtes pas véhiculé, le chauffeur de la résidence peut vous conduire en voiture à Touros ou même à Natal et vous accompagner pendant que vous faites vos courses, le tout pour un prix très raisonnable.

 

Restauration :

Un restaurant se trouve dans la résidence, jouxtant la plage. Vous trouverez d’autres restaurants de cuisine familiale dans le village ou sur la plage de Zumbi et dans les villages alentours, et tout type de restauration à Natal.

Vous pouvez, bien sûr, cuisiner dans la maison qui contient tous les ustensiles nécessaires, et utiliser le barbecue commun de la résidence.

Quelques bonnes adresses pour se restaurer :

-A Zumbi : Restaurant Punau (à Barra do Punau), bon restaurant dans un cadre magnifique, entre plage, dunes et rivière, au milieu de nombreuses attractions touristiques (canöé, quad, tyrolienne, baignade, etc…) et chaque dimanche, musique en live (Forro).
-A Pititinga : Restaurant O Vapor Velho (sur la plage), petit restaurant de cuisine familiale traditionnel. Accueil très sympathique et excellente cuisine savoureuse. Tout est fait maison. La caïpirinha est incontournable.
-A Touros : O Castelo (Av Jose Penha de Souza) Très bon restaurant pour déguster de la langouste, face à la mer.
-A Natal :
Mangaï (quartier Lagoa Nova) : Restaurant buffet « ao kilo » avec un très large choix de plats typiquement nordestins.
Camarões (Ponta Negra) : La crevette étant la spécialité de la région, venez la déguster à toutes les sauces, chez ce spécialiste réputé et incontesté.
Sal e Brasa (Ponta Negra) : Une vraie Churrasqueria brésilienne, service de viandes à volonté, expérience à vivre au moins une fois.

 

Animations :

On ne choisi pas Zumbi pour l’exubérance brésilienne, la résidence est, au contraire, un havre de paix et de tranquillité. En dehors des périodes de Carnaval (en principe, fin février), où la fête est omniprésente dans tout le Brésil, le lieu est extrêmement calme et reposant, idéal pour se dé-stresser et oublier les soucis de la vie trépidante.

 

Informations touristiques :

A votre arrivée à l’aéroport, nous vous conseillons de réclamer le « Guia Natal », petit dépliant touristique qui vous sera remis gratuitement au guichet d’informations touristiques. Ce guide contient de nombreuses adresses utiles, des informations sur les excursions à faire dans la région, une carte de la région et un plan détaillé de Natal.

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Voyage Nordeste Bresil 2012, des debuts difficiles

Cela fait 6 jours que nous sommes arrivés au Brésil et le moins qu’on puisse dire c’est que le début des vacances a été mouvementé !

Dans l’ordre (ou le désordre), l’inventaire de nos péripéties :

– Nous sommes arrivés sans nos valises ! Restées coincées à Lisbonne pour une sombre histoire de panne d’ordinateur à l’aéroport de Lyon (aucun passager du vol Lyon / Lisbonne n’ayant eu ses bagages à l’arrivée à Natal). Ce qui est moins drôle, c’est qu’il n’y a pas une liaison Lisbonne/Natal tous les jours en ce moment, mais seulement 3 par semaines (les lundi, vendredi et samedi). Nous avons donc du patienter jusqu’à vendredi pour recevoir enfin nos chers bagages.

– Odette est tombée, se blessant à l’épaule (heureusement rien de grave, après un passage à l’hôpital hier pour quelques examens dont des radios qui nous ont confirmé que rien n’était cassé). Un traitement anti-inflammatoire de quelques jours devrait suffire, mais en attendant, elle doit renoncer à nager.

– Évidemment, si nous avons pu acheter (aux frais de la compagnie), les objets « dits » de première nécessité, il n’en a pas été de même pour certaines choses indispensables : médocs d’Odette, entre autres, mais aussi l’alimentation (chargeur) de mon PC portable. Et là, on se rend compte que 2h d’autonomie de batterie, quand il faut tenir avec pendant 5 jours, c’est vraiment pas beaucoup, d’autant que c’est l’ordi (grâce à Skype) qui nous permet aussi de communiquer par téléphone.

C’est pourquoi ce blog est resté silencieux, mais je vais me rattraper, surtout que tout ça nous a permis d’être confrontés à de nouvelles expériences, telles que les consultation à l’hôpital, ou la conduite de nuit au Brésil.

Après ces 5 jours de galère, on peut considérer que les vacances commencent réellement aujourd’hui, sous le soleil des tropiques, alors ne nous plaignons pas.

A suivre…

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Des moustiques genetiquement modifies pour lutter contre la dengue

Au Brésil, la dengue, maladie virale transmise par le moustique tigre, a touché près d’un demi-million de personnes depuis le début de l’année. Face à cette situation, le ministère de la Santé brésilien a décidé de produire à grande échelle des moustiques génétiquement modifiés afin de combattre le vecteur de la maladie.

La dengue a déjà frappé plus d’un demi-million de personnes au Brésil depuis le début de l’année. Transmise par le moustique « aedes aegypti », cette maladie virale se caractérise par de fortes fièvres, des maux de tête et des douleurs articulaires. Elle peut également devenir hémorragique et se révèle alors parfois mortelle.

Pour tenter de contrer la prolifération de la maladie, le ministère de la Santé brésilien a donc décidé de s’attaquer au vecteur de la maladie, à savoir ce fameux moustique. Il a donc décidé de produire en grande quantité des moustiques mâles, génétiquement modifiés. Une fois lâchés dans la nature, en quantité deux fois supérieure à celle des moustiques non transgéniques, ces « aedes aegypti » GM iront copuler avec les femelles mais leur progéniture sera programmée pour ne pas atteindre l’âge adulte.

Une usine inaugurée samedi dans l’Etat de Bahia, au nord-est du pays, devrait produire près de 4 millions d’insectes par semaine. Testée dans deux communes proches de Bahia, la technique aurait déjà permis de réduire de 90% la population de moustiques en six mois.

 

source : www.enviro2b.com

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Des chercheurs bresiliens testent avec succes un vaccin contre la bilharziose

Une équipe de chercheurs brésiliens a annoncé avoir testé avec succès le premier vaccin contre la bilharziose, une maladie parasitaire qui afflige plus de 200 millions de personnes dans le monde.

« C’est une avancée médicale sans précédent, fruit de 30 ans de travaux scientifiques« , a déclaré mardi à l’AFP le docteur Tania Araujo-Jorge, directrice de l’Institut Oswaldo Cruz de Rio de Janeiro.

 « Nous devrions être en mesure dans les trois ans de distribuer le premier vaccin antiparasitaire, et contribuer ainsi à l’éradication de la bilharziose, un mal qui frappe les plus démunis, vivant dans des conditions insalubres« , a-t-elle expliqué.

Le vaccin contre les parasites – les larves de la bilharzie, un petit ver trématode hébergé par des mollusques d’eau douce – qui affligent également le bétail, a été développé à partir de la reconstruction d’une protéine dans un ver.

Le vaccin a été testé avec succès sur des humains, mais des essais supplémentaires sont nécessaires dans les régions les plus touchées, l’Afrique et l’Amérique latine.

Le parasite qui se trouve dans l’eau pénètre à travers le derme, et les enfants y sont particulièrement vulnérables parce qu’ils se baignent souvent dans les eaux contaminées des rivières.

Le Brésil compte 2,5 millions de cas de bilharziose, qui se signale d’abord par une éruption cutanée avec des démangeaisons, suivie de fièvre, toux, douleurs musculaires et abdominales, diarrhée et dermatite.

Au bout de plusieurs années, si la maladie n’est pas décelée et traitée, les organes internes – foie, vessie, intestin, poumons et vaisseaux sanguins – peuvent être durement touchés et dans de rares cas, la morts’en suivre.

« Si le taux de mortalité est bas, la bilharziose conduit à des incapacités de travail qui aggrave la pauvreté et la reproduit« , a souligné le Dr Araujo-Jorge.

 

(source AFP)

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