Sommet de Rio: trois jours pour la planete

Ce jeudi 21 juin 2012 et pour trois jours, la ville de Rio de Janeiro, au Brésil, accueille le sommet sur le développement durable, vingt ans après le sommet de la Terre dans la même ville (1992). Cette grand-messe environnementale s’annonce déjà décevante. Le projet de déclaration sur lequel se sont entendus les négociateurs des 190 pays est jugé trop faible par les organisations non gouvernementales. Et manquent à Rio quelques responsables politiques de poids comme Barack Obama ou Vladimir Poutine.

 

Source RFI

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Voyage a Natal, mars 2012 (1/7)

05 mars 2012, nous embarquons à Lyon pour notre 3ième voyage au Brésil (voir nos précédents voyages : Rio, Iguacu en 2009, le NordEste en 2011, sur notre site de voyages à travers le monde).

Cette fois-ci, nous allons nous limiter à la découverte de la région de Natal et prendre possession de notre maison, sur la plage de Zumbi.

On va voler sur la TAP qui propose des vols directs depuis Lisbonne vers Natal (7 heures de vol) avec une correspondance pour la plupart des aéroports européens. Pour nous, ce sera donc un départ de Lyon, avec un chouette petit avion aux allures de jet privé, pour effectuer la liaison Lyon/Lisbonne.

 

Décollage de Lyon vers midi, on arrive à Natal aux environs de 20h, après une escale à Lisbonne et 4 heures de décalage horaire.

Une location de voiture nous attend à l’aéroport, réservée chez Dia-Noite, petite agence située à Ponta Negra. Il n’est pas recommandé de rouler la nuit au Brésil, à moins d’avoir l’habitude, ce qui n’est pas mon cas (on tentera plus tard). De plus, je ne suis pas certain de savoir retrouver la maison en pleine nuit, étant donné que nous n’y sommes allés qu’une seule fois et que nous étions accompagnés. Je n’ai pas d’indications précises ni sur l’adresse ni sur l’itinéraire. Donc pour le premier jour, on va jouer la sécurité et passer la nuit à l’hôtel, à Ponta Negra.

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Le PDG d’Aeroports de Paris met le cap sur le Bresil

Le PDG d’Aéroports de Paris (ADP), qui vient de finaliser l’acquisition de 38 % de l’opérateur turc TAV, est particulièrement intéressé par l’aéroport de Rio mais s’attend à une compétition difficile si un appel d’offres était effectivement lancé. « On est en train de regarder de très très près Rio (…) C’est loin d’être gagné. Il y aura beaucoup de monde (car) Rio est extrêmement attractif », a déclaré mercredi 6 juin Pierre Graff.

Pour l’instant, la présidente du Brésil, Dilma Rousseff, n’a pas encore pris formellement la décision de lancer un appel d’offres sur cet aéroport. Elle « devrait prendre une position définitive d’ici la fin de l’année », selon le patron d’ADP. « Pour autant, on s’y attend et on s’y prépare avec nos partenaires d’Amsterdam pour savoir qu’elle pourrait être l’offre », a-t-il souligné.

En attendant, M. Graff a indiqué que ses équipes travaillaient sur ce dossier avec des partenaires brésiliens : un fonds et une société de BTP. Il a en outre expliqué que Mme Roussef souhaiterait que l’actuel gestionnaire de Rio « soit encadré par des gens d’expérience des aéroports ». Pierre Graff y voit une chance pour ADP allié à Schiphol.

PRIVATISATION

Rio est au cœur des cibles de la stratégie internationale du gestionnaire aéroportuaire français. ADP vise en effet des opportunités d’investissements dans les pays de l’OCDE et les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine). Il cible « des aéroports de taille significative, autour de 10 millions de passagers ». Ces investissements doivent enfin être « plus rentables que des investissements à Paris ».

Par ailleurs, Pierre Graff a souligné qu’il était toujours extrêmement intéressé par l’aéroport de Lyon. « Cet aéroport nous intéresse mais le processus de privatisation n’a pas été engagé », a-t-il commenté, soulignant qu’il ne savait pas qu’elle serait la décision du nouveau gouvernement français.

La privatisation de quatre grands aéroports de province n’avait pas pu être lancé l’an passé faute d’accord avec les collectivités locales. Ce dossier délicat avait alors été repoussé à l’après-présidentielle de 2012. Le gouvernement précédant souhaitait céder à des acteurs privés une grande partie de ses parts dans les aéroports de Toulouse, Bordeaux, Montpellier et Lyon. Mais les collectivités se montraient réticentes à cette option, souhaitant racheter elles-mêmes ces actifs stratégiques.

L’État, actionnaire des quatre aéroports à hauteur de 60 % aux côtés des chambres de commerce et d’industrie locales (25%) et des collectivités territoriales (15 %), comptait céder un peu moins de 50 % à des acteurs privés. Aéroports de Paris est détenu à quelque 60 % par l’État et le Fonds stratégique d’investissement (FSI).

 

(source : Le Monde)

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