Remplir le frigo, une mission pas toujours facile…

Allons faire un tour au marché de Touros. Certains s’y rendent en « taxi collectif »…

d’autres y vont à pied ou en voiture, comme on dit vulgairement « en charrette » sauf qu’ici c’est à prendre au sens propre.

C’est coloré et odorant, parfois même un peu trop (désolé si je n’ai pas de photos du secteur « viandes » mais ce n’était pas tenable ! La prochaine fois j’essayerai de coller une caméra sur les ailes d’une des nombreuses mouches, vous aurez une vision globale…).


On s’attarde plutôt dans les allées des fruits et légumes.

Le marché s’est, parait-il beaucoup modernisé car à présent il y a des tables, il y a de ça 3 ou 4 ans, tout était posé à même le sol. c’est encore le cas pour les ananas, potirons…

ou le rayon « accessoires auto » !

Traversons maintenant les siècles (ou faisons quelques kilomètres en direction d’un des nombreux hypermarchés de Natal).

Ici je peux m’attarder sans crainte d’être piqué par une mouche, dans le rayon viande, bien que guère plus appétissant, il ne passe pas inaperçu (la bière quand à elle est omniprésente dans tous les rayons, avouons que n’importe quel prétexte est bon pour partager une bonne cerveja)


Le rayon fruits et légumes ne manque pas d’attrait, ni de saveurs exotiques, mais arriverait-on à vendre des oranges vertes en France ?

On retrouve aussi quelques constantes du marché traditionnel, comme le rayon accessoires auto, impressionnant (il est vrai qu’ici, on crève facilement).

Enfin, les caissières ne subissent pas le stress des cadences infernales, ce qui, pour le client, est aussi bien plus agréable.