Alors que se déroule cette semaine Rio+20, la Conférence de l’ONU, le Comité organisateur local (COL) de la Coupe du monde de football prévue pour 2014 au Brésil a présenté son plan d’action, « durable » et respectueux de l’environnement.
Le mondial de football 2014 sera « durable ». A l’occasion de la Conférence de l’ONU, Rio+20 qui se tient cette semaine, le Comité organisateur local (COL) de la Coupe du monde de football 2014 qui se déroulera au Brésil a d’ores et déjà présenté son futur plan d’action. « L’objectif principal est de faire un événement qui utilise toutes les ressources avec intelligence, en créant l’équilibre entre aspect économique, développement social et protection de l’environnement » explique Federico Addiechi, directeur de responsabilité sociale de la FIFA, dans des propos recueillis par l’AFP.
Ainsi, le COL prévoit déjà la mise en place d’infrastructures spéciales aux normes écologiques. Luis Fernandes, nouveau représentant du gouvernement dans le Comité développe : « Les solutions technologiques pour assurer la durabilité incluent le recyclage des matériaux de construction dans des travaux publics, l’utilisation de l’eau de pluie pour les réservoirs et pour arroser les pelouses, l’énergie solaire et autres sources d’énergie renouvelable pour l’éclairage ». Mais ceci ne sera qu’un début pour le monde du football puisque l’initiative des stades « verts » a également été exigée par la FIFA pour les prochains mondiaux de 2018 et 2022 qui se tiendront respectivement en Russie et au Qatar.
Au Brésil, treize milliards de dollars ont été investis seulement pour mettre en place ce type d’infrastructures. Il faut dire que le calendrier des évènements sportifs est chargé pour le pays qui accueillera successivement la Coupe des confédérations, le Mondial de foot en 2014 et les jeux Olympiques en 2016. Pour financer la construction des grandes structures prévues, la Banque de développement économique et sociale (BNDES) a néanmoins exigé un certificat écologique.
Source : maxisciences.com
Suite/CommentaireCe jeudi 21 juin 2012 et pour trois jours, la ville de Rio de Janeiro, au Brésil, accueille le sommet sur le développement durable, vingt ans après le sommet de la Terre dans la même ville (1992). Cette grand-messe environnementale s’annonce déjà décevante. Le projet de déclaration sur lequel se sont entendus les négociateurs des 190 pays est jugé trop faible par les organisations non gouvernementales. Et manquent à Rio quelques responsables politiques de poids comme Barack Obama ou Vladimir Poutine.
Source RFI
Suite/CommentaireLa compagnie Avianca Brésil, qui appartient au groupe latino-américain AviancaTaca, a annoncé mercredi qu’elle allait acheter en 2012 huit Airbus et non plus cinq comme initialement prévu dans le cadre d’un plan d’investissement accéléré après d' »excellents résultats ».
Dans un communiqué, Avianca Brésil annonce qu’en plus de l’achat déjà prévu de cinq A318, la compagnie allait également acquérir un A319 et deux A320, qui peuvent respectivement accueillir 132 et 162 passagers, pour étoffer une flotte déjà riche de 26 appareils. « Le plan initial prévoyait d’acheter cinq A318 en 2012 et cinq autres (avions) en 2013 (…) Mais étant donnés les excellents résultats de la compagnie, très supérieurs à la moyenne sur le marché, nous avons décidé d’effectuer cet investissement supplémentaire conséquent », a déclaré dans le texte José Efromovich, président d’Avianca Brésil.
La compagnie rehausse ainsi de 8% les 2,7 milliards de reals (quelque 1,35 milliards de dollars) d’investissements prévus d’ici 2016. Avec ces nouvelles acquisitions, Avianca Brésil prévoit de faire passer son offre de 147 vols quotidiens à 200 à la fin 2012, avec quelque 800 embauches prévues jusqu’à cette date. Selon l’Agence nationale de l’aviation civile du Brésil, Avianca Brésil représentait en 2011 2,78% du trafic intérieur passagers brésilien, derrière les deux géants TAM (42%) et Gol (38%).
Source AFP
Suite/Commentaire06 mars 2012 : Nous rejoignons notre maison de Zumbi, en longeant la mer. Depuis Natal, Ponta Negra, le long de la Via Costeria.
Jusqu’à Genipabu, puis nous poursuivons sur la BR 101, et nous voilà enfin chez nous !
Je teste la connexion wifi, ça marche impeccable, je vais travailler un peu sur la terrasse, face à la mer, c’est plutôt pas mal, j’ai déjà connu des bureaux moins agréables !
Suite/Commentaire05 mars 2012, nous embarquons à Lyon pour notre 3ième voyage au Brésil (voir nos précédents voyages : Rio, Iguacu en 2009, le NordEste en 2011, sur notre site de voyages à travers le monde).
Cette fois-ci, nous allons nous limiter à la découverte de la région de Natal et prendre possession de notre maison, sur la plage de Zumbi.
On va voler sur la TAP qui propose des vols directs depuis Lisbonne vers Natal (7 heures de vol) avec une correspondance pour la plupart des aéroports européens. Pour nous, ce sera donc un départ de Lyon, avec un chouette petit avion aux allures de jet privé, pour effectuer la liaison Lyon/Lisbonne.
Décollage de Lyon vers midi, on arrive à Natal aux environs de 20h, après une escale à Lisbonne et 4 heures de décalage horaire.
Une location de voiture nous attend à l’aéroport, réservée chez Dia-Noite, petite agence située à Ponta Negra. Il n’est pas recommandé de rouler la nuit au Brésil, à moins d’avoir l’habitude, ce qui n’est pas mon cas (on tentera plus tard). De plus, je ne suis pas certain de savoir retrouver la maison en pleine nuit, étant donné que nous n’y sommes allés qu’une seule fois et que nous étions accompagnés. Je n’ai pas d’indications précises ni sur l’adresse ni sur l’itinéraire. Donc pour le premier jour, on va jouer la sécurité et passer la nuit à l’hôtel, à Ponta Negra.
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